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| Uchiha Masashi (bonne lecture) | |
| | Auteur | Message |
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Uchiha Masashi Membre du conseil
Nombre de messages : 27 Date d'inscription : 10/08/2007
Fiche Ninjas Equipement: Grade:
| Sujet: Uchiha Masashi (bonne lecture) Sam 11 Aoû - 0:39 | |
| Nom : Uchiha
Prénom : Masashi
Age : 21
Grade : Membres du conseil
Village (ou Autre) : Suna
Physique : Masashi est un jeune garçon à la peau halé par le soleil. Il est coiffé avec de longs cheveux noirs en bataille et attachés par une lanière de tissu, son visage fin est bordé par deux longues mèches. Masashi s'impose par par un physique imposant, les muscles saillant apparaissent sur son corps. Il est d'une carrure assez impressionante. Son visage est éclairé par ses grand yeux d'un vert étincellant, surbordé par des cils noirs très fins, le regard assez dur et froid. Il est assez grand, un bon mètre quatre-vingt-sept. Masashi porte un kimono (tenu de son grand père)
Caractère : S’il fallait donner une description précise sur Masashi, ça ne serait pas très dur et plutôt concis même. Masashi est une personne introvertie, il ne parle pas souvent avec les autres ninjas, et reste assez en retrait dans la vie de tous les jours. Sinon, lorsqu’il se trouve avec des personnes qu’il connaît, le jeune homme est plutôt enclin à parler de choses et d’autres qui concernent le village par exemple que de parler de lui. Timide, c’est certainement un des mots qui le qualifierait le mieux, car malgré le fait que s’exprimer en public ne semble pas l’effrayer, il n’est pas moins vrai que de devoir parler de lui semble l’indisposer autant que si on lui demandait son avis sur une mission importante, à savoir, beaucoup.
Histoire : (j'ai pas assez de place je ferais donc en plusieurs postes à la suite de celui-ci)
Affinités : Hyoton (Suiton + Fuuton)
Nindô : Ne jamais abandonner, mieux vaut perseverer. Devenir l'un des plus grand ninja qui n'est jamais existé.
Dernière édition par le Sam 11 Aoû - 14:18, édité 4 fois | |
| | | Uchiha Masashi Membre du conseil
Nombre de messages : 27 Date d'inscription : 10/08/2007
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| Sujet: Mon histoire, ma Fanfic (partie I) Sam 11 Aoû - 1:03 | |
| Préambule ...
Assis toi mon ami, ce qui va suivre, est une triste vie ... Je vais te raconter une histoire, une vie, un passé bien gardé, enterré à tout jamais ... Je vais vous conter ...
L’histoire de Masashi Uchiwa ...
J’avertis tous ceux qui croient que ceci est une légende, cette histoire et bien réelle, ni conte, ni roman, juste un passé remplie de tourments. J’avertis tous ceux qui pensent que mon récit n’est qu’extrapolation, je vous prouverais avec toute ma plus grande sincérité, toute la vérité de mon âme, car ce qui va suivre, n’est autre que ma vie ... Je veux montré dans ce texte, un homme dans toute la simplicité d’une vie, loin de moi l’envie de souligné mon histoire, juste un besoin formel de montré à mes semblables que je ne suis comme aucun de ceux qui vivent, j’ose affirmé ma différence, si je ne vaux pas mieux, au moins je suis autre ...
Je finirai ce préambule sur une phrase, une citation, qui me fut donné par un homme poétique, car je ne suis point surhumain, je ne suis point divin, je ne suis pas quelqu’un d’extraordinaire, mais j’ose croire être différant, tout simplement ...
« Celui qui croie dur comme fer, au fait d’être complètement différant, d’être unique tout simplement, lui, et lui seul gagnera alors quelque chose d’incroyable, nommée Fierté... »
Première Partie : « Famille ... »
Ma famille est très banale, mais j’avais envie de l’écrire, pour ne pas l’oublié, écrire ma vie, mes actes, mon passé, ces bons sentiments partager, ces moments de franche rigolade, et toutes ses accolades mais aussi ce triste passés ...
Chapitre 1 : « Père ... »
Père ; Kuubo Uchiwa, est un homme exemplaire. Rien que sa présence signifie respect. Il n’est pourtant pas très grand, il doit mesurer environ un mètre soixante-dix, et son poids, n’est pas très élevé, environ soixante kilos. Bref, peu nous importe tous ces détails inutiles, mon père me ressemble énormément, ou plutôt, je suis le portrait craché de mon père, il est brun, des yeux noirs très profond, un regard qui refuse catégoriquement toute expression... Père est mon exemple, il est, et restera mon créateur, ma fierté, car lui-même, ma transmis tous ces sentiments, et surtout, ce sang ... Ce pouvoir ... Il est à l’heure où je vous parle, entrain de travailler. Pardonnez-moi, j’ai oublié de vous précisez bien nombre de chose sur mon père, en fait, il s’avère qu’il est Ninja ... Oui, Ninja de Suna, promus depuis maintenant de longue année au rang de Juunin, il enseigne à l’académie, et forme les jeunes étudiant ninja de Suna. Mon père est au ordre du Kazekage, mais je ne me souviens plus de son nom ... Père a une histoire plutôt basique et classique ... Il naquit pendant une période dite de félicité, Suna brillait de mille feux, de joie, de vivres et de prospérité, dès son plus jeune âge, à exactement 8 ans, il voulu devenir ninja pour servir le Kazekage de l’époque, il désira cela après avoir appris la disparition de son père, c'est-à-dire mon grand père, lors d’une mission d’Anbu, mon grand père avait demandé à mon père une seule chose dans toute sa vie, ce fut sur son lit de mort, et cette chose c’est de « devenir un bon ninja », mon père ne pus que réaliser cela ... Depuis lors, mon père enchaîne les missions, il continue de servir le peuple de Suna, le Kazekage, il continue de nourrir sa famille, sa femme, et ses fils ... Mon père est un ninja qui a su devenir important, grâce à son Clan ... J’ai presque oublié, une détail important pour mon père, a un caractère spécial et ces gênes sont particulières, j’en est hérité, mon père est un homme avec certaines qualités et certains défauts, il est très franc, peut être même froid dans certain moment, mais cela ne l’empêche pas de rire et de s’amuser avec nous, mon frère et moi, quand nous étions petit. Il vrai que mon père à certains comportement digne du code des ninjas ... Il ne parle pas pour rien dire, il ne montre presque jamais ses sentiments, il aime la vie, mais est conscient de la sacrifier a n’importe quel moment ... Une chose me marque dans père. Je ne l’ai jamais vu pleurer... Père est un bon ninja, il a une vie simple et bien remplie ... Rien de bien particulier chez lui ...
Chapitre 2 : « Mère ... »
Mère ... Pour moi cela restera la plus merveilleuse des femmes ... Je ne connais pas beaucoup son passé, je ne sais presque rien, pour la simple raison, que ma mère ne me parle pas beaucoup d’elle, chaque fois que j’allais la voir, je repartais la tête pleine d’idée, d’idéologie, et surtout motivé comme jamais pour travaillé ... Elle me déclarait toujours. Tu sais, je ne m’intéresse guère aux Ninjas, je n’en suis pas une comme ton père, mais lui est fort et nous protège, alors fait comme lui, deviens fort, et protège moi, garde bien ton frère, et aide ton père. Je me rappelle bien ces paroles, elle me les répétait souvent. Ma mère est une femme gracieuse, éternellement jeune à mes yeux, elle porte sur son corps les marques de deux enfants. Grande femme, plus grande que mon propre père qui se voie perdre de la fierté face à cela. Elle a de magnifiques cheveux bruns, des yeux émeraude ... Un vert impressionnant, c’est peut être pour cette raison que je suis incapable de tenir face à elle, il m’est impossible de la fixé dans les yeux, cela me pousse toujours à confession, à dire la vérité, à fuir finalement ... Mais je m’oublie, ma mère ce nommait Tricha Uchiwa, elle aussi membre du Clan, dont je parlerais sûrement plus tard ... Ma génitrice possède un terrible défaut très féminin, elle aime beaucoup les jolies vêtements, passions que je n’est pas hérité, dieu merci. Elle se change très souvent, mais j’avoue elle réussi a dégagé une certaine « distinction », ce qui ne déplait pas à mon père.... Elle ne travaille pas a proprement dit, elle reste à la maison et s’occupe souvent des enfants du quartier résidentiel. Les couples ninja on souvent des enfants, mais les deux parents sont ninja et partent donc en mission, elle garde alors leur enfants gratuitement, elle n’a jamais voulu être payé pour faire cela, c’est comme ça, qu’elle est vite devenu la mère de toute une génération, quand j’étais enfant, j’avais pleins de camarades, ma mère les gardait et moi avec, mère aime beaucoup les enfants, maintenant, je suis beaucoup plus grand, mais je n’oublie pas ce temps qui reste dans mon cœur d’enfant ...
Il arrivait que ma mère reçoive des remerciements d’enfant qu’elle avait gardé. Pourquoi ? C’est étrange, mais maintenant que j’y pense, c’est vrai que ma mère ne ce contentait pas de garder les enfants sagement, elle jouait, chantait, riait avec comme une mère aux multiples enfants, mais volontairement, elle apprenait les bases de l’art ninja à ces jeunes personnes, filles ou garçons peut importe, il est maintenant prouvé que les filles sont aussi voir même plus forte que les garçons dans l’art ninja. C’est ainsi que j’acquis comme nombre de ma génération, les bases des ninjas. Elle fut donc remercier, et décoré par le Kazekage de la médaille de l’Honneur Familial, qui est rarement attribué, cette médaille est un symbole de maternité, je me rappelle qu’elle a aussi était attribué à une vielle femme qui pendant une guerre avait protégé et sauvé plus de vingt jeunes Sunéens, il y eu une rumeur comme quoi une femme qui eut plus de 12 enfants, avait aussi reçus cette médaille car les douze était devenus ninja. Il n’est donc pas rare de voir des jeunes ninja promus au rang de Genin venir remercier ma mère pour son aide ... Mère aide le village comme elle peut, son petit enseignement fut vite très bien reconnu, car elle porte un nom qui ne laisse personne indifférent, on ce doute donc de la qualité de son mini enseignement ...
Mit à part cette école clandestine, que l’on peut qualifié de garderie, ma mère ne fait pas beaucoup de chose, les taches ménagères et autres l’occupent assez bien ... Son passé m’est inconnu, son présent et accompagné du mien, et son futur ... Dieu seul le sais. Ma mère est quoi qu’il en soie, une personne que j’aimerai toujours, et a qui je dois tout...
Chapitre 3 : « Frère ... »
Kira Uchiwa... Né deux ans après moi, est donc mon petit frère et second héritier de ma famille proche. J’ai beaucoup de chose à dire sur ce frère que j’aime énormément. Notre différance d’âge à fait de nous bien plus que de simple frère. Il y a entre nous une compréhension de l’autre naturellement proche qui à permit de crée des liens très puissant. Mon frère est un second moi, je n’ai appris ou plutôt, je n’ai remarqué que bien plus tard le fait est que j’étais pour mon frère un exemple. Il me ressemble physiquement, mais lui tien plus de ma mère que de mon père, il est le petit dernier, donc naturellement gâté, mais je n’ai jamais était jaloux de cela, moi, je suis l’héritier, et je le protègerai au péril de ma vie...
Mon frère est à l’académie des ninjas, il veut lui aussi devenir ninja, son but est d’être un ninja médecin, mais il veut surtout devenir très important aux yeux de Suna, car comme il me l’a dit lui-même un jour. Tu es l’héritier de la famille, donc celui qui nous représentera au niveau du Clan, je ne pourrai jamais être cher aux yeux de mon Clan, alors, je le serai au niveau de Suna... Ces paroles m’avaient touché, même si je lui avait conseillé de ne pas abandonner le Clan, et quoi qu’il en soie, de toujours y rester.
Moi et mon frère nous nous entraînâmes souvent ensemble ... Il y a plein de détail à dire sur lui, comme son caractère incontesté parce qu’il est mauvais joueur, mais il fait preuve d’une détermination qui dépasse de loin la mienne, il aime bien ce jeter corps et âme dans des causes perdus, malgré sa faible résistance ... Pour lui, tant que il y a de la vie, il y a des chances de réussir ...
Chapitre 4 : « Moi ... »
Je suis Masashi Uchiwa, pour ceux qui ne le savent pas encore, je suis l’héritier de ma famille, premier né de cette même, fils de l’union d’un ninja de Suna, et d’une femme au foyer. Je possède un frère plus jeune de deux ans. Je n’ai pas beaucoup de chose à raconter sur moi-même, j’ai juste plusieurs objectifs dans ma vie ... Je veux protéger les miens, Suna, et tout ce dont je trouve significatif leur survie, je respecte les personnes qui ce respecte eux-mêmes. Je me respecte. Mon second objectif, est de tout simplement devenir un bon élément de Suna, j’ai soit disant une grande carrière de ninja devant moi, je ferai de mon mieux, je servirai Suna de toute mon âme, de tout mon corps, mon cœur ...
Pour vous touchez deux mots sur mes caractéristiques physiques, je suis plutôt grand pour mon âge, au passage j’ai 21 ans à l’heure actuelle. J’ai la chevelure blanche contrairement à mon père, et j’ai un regard profond, des yeux couleurs emeraude exactement comme ceux de ma famille, sauf ma mère. Je suis souvent habillé de la même façon, je porte une sorte de kimono, je suis en fait vêtus de la tenu de mon grand père, celle des anciens samouraïs aujourd’hui disparus, des manches amples, et le torse nu, ma tenu est noir avec des bordures blanches, j’aime le noir ... Un bout de tissus tien mes cheveux qui sont brun et très long, celui-ci est noir, j’en possède un autre qui maintien ma manche droite, celui-là est rouge délavé ... Oui, délavé, car depuis que je met ces tenus les couleurs on tendances à ne pas vraiment rester comme à leur origine, ma tenu n’est pas vraiment faites pour le combat ou tout autres styles d’efforts, et pourtant j’ai décidé de m’entraîner dur afin d’être fort même avec des habits qui ne facilite pas le combat ... Ce qui est contraire à moi-même, puisque je préfère de loin la facilité à l’effort ... Je pense que j’ai assez parlé de physique ...
Quand a mon mental et mon caractère, là, il y a sujet à polémique... Mais je vais essayé de dire ce que je pense de moi, chose pas vraiment facile, mais je me connais suffisamment pour ne pas avoir trop de mal ... Je suis quelqu’un de très franc, c’est le moins qu’on puisse dire, je vais droit au but, et je peux vexé sans le vouloir, très peu sociable de nature, je ne suis le profil type du Ninja, selon moi le garçon ‘solitaire, renfermé, sombre et noir’, je ne suis cela, et je suis très fier de ma différance ! Je suis issu d’un grand Clan, ce qui fait que j’ai une fierté naturellement forte, mais je ne me suis jamais perçu comme supérieur envers les autres, envers qui que ce soie. Je suis ouvert au monde, et je réponds clairement à ceux qui me disent que je ne pourrai jamais faire un bon ninja, je pourrai, car je le veux, je le peux, et je vous prouverai que je suis différant, ce qui fait de moi quelqu’un d’intéressant ! Mis à part cette fierté qui est envers mes origines comme de ma différance, je suis quelqu’un d’accès discret, je n’attire pas l’attention sur moi et j’ai tendance à me faire oublié, mais je n’ai aucun problème de sociabilité, j’aime être avec les autres, parlé, apprendre sur eux. Toujours souriant, j’aime vivre et j’ai cette joie en moi, que ma mère ma transmise. Parfois étrange, il ce peux que mes réactions soient déplacées, ou mal vu, mais j’ai toujours une explication à mes actes, je suis très réfléchie, et je n’aime pas me compliquer l’existence, le plus rapide et le plus efficace est pour moi la meilleure des solutions. Je fini juste en disant, que je suis tout à fait banal sur le reste de mon caractères, et si vous ne me croyez pas, je vous laisse le plaisir de me découvrir ...
Dernière édition par le Sam 11 Aoû - 1:36, édité 3 fois | |
| | | Uchiha Masashi Membre du conseil
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| Sujet: Mon histoire, ma Fanfic (partie II) Sam 11 Aoû - 1:05 | |
| Chapitre 5 : « Clan ... »
Mon père Kuubo, ma mère Tricha, mon frère Kiba, et moi, nous sommes tous membre, du Clan, majuscule à ce mot, car notre Clan, et comme l’on peut dire, très important, nous sommes des Uchiwa. Mon père m’a toujours dit, l’importance du Clan, de notre rôle dans celui-ci, je ne sais pas beaucoup de chose sur ce Clan, juste qu’il est puissant, qu’il ce composent, de toute les branches de notre arbre généalogique, et que nous sommes membre d’une des branches de la lignée principale appelé ‘tronc’, il est vrai que mon cousin est le petit-fils du chef du Clan, donc forcement, j’aime beaucoup mon cousin, que je ne voie plus beaucoup ...
Le Clan, je ne peux pas y rentrée, je ne peux pas assisté au réunion, je ne sais donc pas grand-chose de celui-ci, tout cela parce que je ne suis pas ninja, mon père me disais sans arrêt. Deviens étudiant à Suna, et tu seras vraiment accepté dans le Clan ! Tout cela pour me motiver, alors qu’en silence je haïssais, ce Clan, car de par sa faute, je voyais ma mère pleurer ...
Seconde Partie : « Naissances, enfances... »
Je vais donc raconter du mieux que je peux ma vie, tel est le but de mon autobiographie, afin qu’il y est une trace de mes actes passés, que je puisse une dernière fois me souvenir de ce que j’ai vécus, entendus, ce qui m’a marqué, bien sur ce livre ne pourra pas être complet, mais je promet de faire en sorte que celui-ci, soie le plus exhaustif possible, afin que mon histoire servent au génération future, voici le réel récit d’un homme ce disant « différant ». Je ne désire juste qu’une chose, que ma différance, soit dis, écrite, et que chacun d’entre vous, qui me lirez, vous ne pourrez me juger qu’après m’avoir lu. J’essaye du mieux que mon âme me le permet de m’exprimer sur des faits que je croie réel, mais je n’écrirai jamais une information que je sais erroné, je peux supposer et émettre des hypothèses sur nombre de chose, jamais je n’affirmerai ce dont je ne suis sûr ... Que commence le récit de ma vie, que chacun de vous pourra voir, ce qu’est quelqu’un de différant ...
Chapitre 1 : « Le début de la fin... »
Ma propre personne naquit le mardi 3 mars, ce fut le début de ma vie, l’éveil du poisson. Je suis issu de l’union, déjà énoncé, de mon père Kuubo Uchiwa et de ma mère Tricha Uchiwa, je suis le premier fruit mûr de leur amour infini. D’après ce que ma n’a dit ma mère, j’étais ce qu’on aurai pu appelé « un beau bébé », selon elle, j’étais « parfait » ... Je ne me considère, même aujourd’hui, comme quelqu’un de parfait, loin de là ... Je suis donc né dans une famille qui fait partie d’un Clan, le Clan Uchiwa, illustre Clan. Je suis donc le premier de ma famille, mon frère, Kira, me suivra deux ans après, il naquit donc le 3 mai. Hasard, ou prédiction ? Je ne suis pas très superstitieux. Je ne sais rien de mon frère et de moi dans notre très bas âge, notre courte différance d’âge me rends impossible le fait de me souvenir de lui, et tout ce dont je sais, c’est à ma mère que je le dois, elle m’a apporté toute ces connaissances, c’est dont un peu ici, ma biographie selon ma mère, car qui ose prétendre pouvoir s’écrire de la naissance pure à la mort finale ? Pas moi en tout cas, je n’ai pas cette prétention.
Je fus d’après mon père, un enfant prodige, sur lequel était placé depuis la naissance de très grand espoir au niveau du Clan, comme de la famille, j’ai appris à marché a un an. A trois ans, je savais parler et lire, je faisais aussi mais début dans l’écriture, enfant surdouée, je ne le fus que pendant cette période ... L’on m’a souvent comparé à mon frère, ou plutôt le contraire, quoi que nous faisions, mon frère avait toujours un an de retard, il apprit a marché un an après moi, il ne commença à lire et à parler qu’un an après, et il n’arriva qu’a écrire qu’un an après ma personne ... Mon frère est né dans l’optique d’être le second, la roue de secours, celui sur qui on peut compté pour être là, dans l’ombre, prêt à tout changer, prêt à intervenir. Lui dans l’ombre, moi au grand jour. Je me bats, aujourd’hui encore, pour faire taire ces rumeurs, pour brisé ce brouillard épais qui murmure, que le premier doit vivre, et que le second ne dois vivre que pour le premier, je m’y oppose, et m’y opposerai toute ma vie ...
Nous grandissons, encore et encore, telle une course effrénée dont le vainqueur n’est autre que la mort et le temps. Mon frère et moi, très rapidement nous gagnons en maturité, les heures passent, les jours s’enchaînent, les années défilent. Ma mère avait les larmes aux yeux quand je l’interrogeais sur notre croissance, selon elle « nous avons grandis vite, trop vite ... », mais ce n’est plus un mystère, les mères n’aiment pas voir leur enfant grandir ... Nous délaissâmes rapidement ces jeux d’enfants, voir même de bébé, à la découverte du monde extérieur, du monde qui nous entoure ...
Chapitre 2 : « Le temps de la découverte ... »
A l’âge de cinq ou six ans, je suppose quand même que c’est six et non cinq ans ; je parierai des millions que mon frère répliquera alors. Non ! Je te dis cinq ans ! Car moi, j’en avais trois ! Je m’en rappelle comme si s’était hier. Mais il faudra alors tant bien que mal m’expliquer, comment fait-il pour ce rappelé ces trois ans ! Alors que je ne me souviens même pas de mes cinq … Mystère et boule de gomme. Quoi qu’il en soie, dans les environs de cet âge là, ma mère me raconta un fait étrange. J’avais parait-il, frapper mon cadet après mettre soie disant disputais avec lui ... Pour la petite histoire, selon ma génitrice ; j’étais beaucoup trop jeune pour m’en souvenir, c’est donc ma mère qui fut chargé de m’éclairer sur ce point. Mon frère m’avait volé de la nourriture, or, et c’est encore vrai aujourd’hui, je haie le fait que l’on me dérobe quoique se soie, et surtout de la nourriture, je considère la nourriture comme quelque chose de très précieux ; la nourriture et moi, c’est plus qu’une simple histoire de survie, c’est une vrai expérience romantique. J’en reviens à cette confrontation avec mon voleur de frère qui m’avait prit mon morceau de chocolat, à l’heure du goûter bien évidement. Je lui avais donc porté un joli coup de poing au niveau du ventre, vous savez comme une droite de Mohamed Ali qui entraine un K.O. J’étais tellement énervé que j’avais réussi a concentré mon Chakra dans ma main, ce qui blessa mon frère beaucoup plus gravement qu’un simple coup de poing à l’estomac. Ma mère m’expliqua bien plus tard ce jour. Elle me dévoila que c’est à partir de ce moment là, que j’avais débloqué ma première porte de Chakra... Le seul petit détail, est que je m’étais évanouie à la vue du sang de mon frère… Ce que je peux en conclure, c’est que depuis ce jour là, mon frère possède au ventre une cicatrice en forme de cercle manqué, inachevé, semblable à une rotation ...
Mais c’est aussi à partir de ce phénomène, qui m’étais à l’époque inexplicable, que je deviens au yeux de mon père un vrai petit homme, un vrai guerrier, et il commença à faire de moi un futur ninja, me vantant le métier, m’expliquant ce qu’était un ninja, mon père qui ne nous parlait que rarement, et qui n’avait jamais osé nous dévoilé son métier de ninja, était avec nous très distant, mais depuis ce jour-là, il ce mit à nous traité comme ces vrai enfants, jamais il ne nous avait véritablement considéré comme ses enfants, tout changea depuis ce jour. Malgré ce coté positif, le revers de la médaille était lui aussi très puissant, on ce mit à chuchoter un peu partout dans le Clan, que j’étais supérieur à mon jeune frère, mon père n’en avait que pour moi, et je haïssais cette discrimination... On entendait dans les rues du Clan parler d’un enfant prodige, d’un jeune Uchiwa fils de ce bon vieux Kuubo, qui était digne de son père mais qui avait des chances d’intégrés la Police du Clan, et surtout de ce rapprocher de la ligné principale, voila de bien belle information inutile pour un enfant, mais pour moi aujourd’hui ces mots on un sens précis sur mon enfance… Père, sous les ordres du Clan, devait me surveillé, car aux yeux de mon Clan, j’étais sûrement, ou plutôt j’allais devenir, une « arme » très puissante qu’il ne fallait surtout pas négliger, jamais il n’allait ce douté que j’aurai pu changer... De plus, il me prenait pour un géni, un enfant prodige tel ce musicien qui depuis ces quatre ans joue comme les plus grands ... Jamais personne n’allai ce douter que mon frère, était aussi doué que je l’étais ...
Ce qui est plutôt comique est le fait que trois ans après, lors de mes huit ans ; ce coup-ci je suis sûr de mon âge. Mon frère qui avait cinq ans d’âge et une maturité déjà équivalente à la mienne, avait lui aussi réussi cet exploit de « déblocage de Chakra », et étrangement, c’est lui qui m’avait frappé au niveau du ventre. Cela peut vous faire sourire mais depuis ce jour, je possède également une cicatrice avec presque la même forme, mais de l’autre coté, mon frère l’a à droite, moi à gauche. Vous me demanderez sûrement, pourquoi m’a-t-il frappé ce jour là ? La réponse et toute simple. Non, je ne lui ai rien volé, je haie que l’on me dérobe alors je ne dérobe point. J’avais, pour être tout à fait sincère, coupé les cheveux de mon jeune frère, celui-ci à toujours aimé ces cheveux ; il considère, comme les ex-samouraïs, sa chevelure comme un honneur, une fierté inébranlable, un don du ciel, et il n’en dément pas, même petit il détestait que l’on touche ces cheveux. J’avais donc commis l’irréparable en lui coupant une mèche de sa belle « crinière » (rappelez vous, mon frère à lui aussi les cheveux long semblable selon moi à une crinière), j’avais beau m’excusé, prit d’une colère incontrôlable, il m’avait porté un coup au niveau du ventre, qui avait entrainé ma chute sur le sol froid de la cuisine. Là aussi, à la vue de mon propre sang, je m’étais évanouie ... Ma mère en rie aujourd’hui, tandis qu’à l’époque, elle en pleuré de voir nos ventres de telle manière martelé ... Mon frère et moi nous nous sommes alors rendus, depuis ce jour, coup sûr coup ...
Le Clan, père… Ils étaient tous bouleversés, père monta en grade, il avait contribuée à la création de deux gamin qui paraissaient ordinaire mais qui étaient finalement de vrai géni ... Pour tous jeunes garçons, ou plutôt jeunes enfants, même pour les plus grands Uchiwa, l’âge de ce déblocage n’arrive que vers les huit-neuf ans, ce qui fessaient de nous des enfants très précoces. L’engouement du Clan et des habitants pour cette évolution, qui est ma foi exponentielle, s’accéléra, car le Clan, dans cette envie toujours plus grande de pouvoir et de bons éléments pour maintenir une simple réputation, avait oublié quelque chose de fondamental. Sur cette Terre, et j’y croie dur comme fer, un homme en vaux un autre, quels qu’ils soient, c’est une loi fondamentale comme l’échange équivalent, nous ne sommes donc en aucun cas supérieur aux autres... Les rumeurs et autres ragots sur mon frère et moi s’enchaînèrent très vite, bientôt on nous regardé d’un œil méfiant, nous étions « les enfants précoces », « les jeunes génies », « la génération future et supérieure », mais en quelques semaines ce phénomène ce calma très vite, le Clan ne voulait guère ébruiter notre cas, sous peine d’attiré des yeux curieux, et les ennuis avec eux. Fort heureusement pour nous, nous ne fûmes pas victime de trop grande discrimination, car au fils de notre croissance, notre avance ce tassa rapidement, et nous redevînmes des « enfants banals ».
Depuis ce jour, le temps était venu pour nous d’entrée en contact avec le monde extérieur, notre séparation avec nos parents commence depuis lors, nous devenions un petit peu indépendant, et cela n’ira qu’en empirant, au plus grand désespoir de ma mère… L’âge de découverte, le vrai début de la vie, commença ce jour là…Nous comprîmes que nous étions quelqu’un, il ne nous restait plus qu’à savoir qui nous étions…
Dernière édition par le Sam 11 Aoû - 1:10, édité 1 fois | |
| | | Uchiha Masashi Membre du conseil
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| Sujet: Mon histoire, ma Fanfic (partie III) Sam 11 Aoû - 1:07 | |
| Chapitre 3 : « Journée type… »
A) Matin.
Il y a quelque chose de spécial dans les journées de notre enfance à mon frère et moi, nous n’étions pas comme tout le monde et là est la différance première. Je vais vous racontez une journée type, banale, classique pour nous petit membre du Clan Uchiwa, et vous verrez alors que notre quotidien n’avait rien de mieux que celui d’autre, mais vous pourrez juste comprendre, la différance de celui-ci… Si vous ne comprenez pas, prenez un autre livre autobiographique de ce rayon, n’importe lequel, et vous verrez la différance entre eux, et nous…
6 heures 30 exactement, Oda nous réveille. Pardonnez mon impolitesse, Oda est la servante de notre famille, vielle femme de plus de soixante ans, elle fût notre nourrisse, notre seconde-mère, notre ange gardienne. Cette femme d’expérience est très gentille envers nous, voila prêt d’un demi- siècle qu’elle sert notre famille, déjà enfant elle y était. Aujourd’hui, elle est plus une ami proche qu’une servante, elle est devenu très amicale à notre famille. Elle est par contre muette, ce qui rend les choses plus difficile, de plus avec le temps elle ce fait sourde, la pauvre… Mais cela ne nous gênait pas, elle savait ce faire comprendre croyez-moi. Notre réveil et dur et pénible, mais nos parents sont d’accord sur un point ; « Les journées appartiennent à ceux qui se lève tôt », nous ne fessions qu’appliquer des préceptes idiot, et impossible à comprendre pour des enfants. Oda nous réveillait généralement en nous secouant légèrement. Dès qu’on ouvrait un œil ou émettait un son, elle nous enlevé les draps de dessus le corps, afin qu’au contact de l’air frais nous décidions de nous levé. Nous l’avions bien comprit, et nous jouons involontairement, à celui qui reste le plus longtemps dans le lit sans rien faire, réveillé, mais notre envie de ne pas bouger était tellement forte qu’ils nous étaient facile de resté là, couché. On est si bien dans ce lit tout chaud, je pense que le meilleur moment du sommeil, c’est celui-là, quand nous sommes réveillé, conscient que nous allons devoir nous levée, mais que nous restons là, dans ce lit si douillé, à attendre, à récupérer, à sentir notre corps qui s’étire, ce corps qui ne veux pas ce levé, qui est bien. Si j’avais pu, j’aurais vécus sans quitter mon lit, car comme on dit : « Qu’il est bien chanceux l’étudiant qui comme la rivière peut suivre son cours sans quittait son lit. » Il arrive donc un moment, ou difficilement certes, nous nous levions. Oda nous suivait presque en sans-arrêt, elle nous surveillait en permanence, le passage à la salle de bain était obligatoire, douche, brossage de dents, nous devions coiffés nos chevelures etc. Autant de petites choses inévitables et même pesantes que nous devions faire au quotidien. Etrangement, mon frère passait un temps fou à s’occuper de sa chevelure, alors que moi, c’est plutôt la douche qui me retenait. Quel plaisir de rester sous la douche. Tout ce qui est chaud j’aime, c’est comme cela, je pouvais passer des heures sous la douche. Mon record a était de 38 minutes, c’est mon frère qui avait calculé. Moi, je trouve cela normal d’aimer prendre des douches, sa fait tellement de bien, sentir cette eau chaude couler sur notre corps, se sentir propre et frais une fois sortie, avoir envie d’y retournée parce qu’il fait chaud sous cette eau, alors que l’air est si froid à l’extérieur…
Quand nous finissions notre toilette il devait être pas loin de 7 heures 50. Vous noterez ma précision, mais quand vous faites ces mêmes geste pendant plus de 5 ans, qu’on vous apprend à faire comme cela, dans le temps impartie, qu’on vous oblige a respecté toute les étapes dans le même temps, finalement au bout du compte même le temps de la toilette marque, et reste gravé dans nos mémoires, surtout qu’après cette toilette il y avait le terrible petit déjeuné… Mon père était strict, 8 heures pille, on sert le petit déjeuné, 8 heures 20 on débarrasse, ceux qui ne sont pas à l’heure non pas de petit déjeuné, ceux qui non pas finie dans le temps impartie non finirons jamais. Moi, je m’en fichais… Je ne mange pas beaucoup au petit déjeuné, mon « breakfast » était essentiellement composé d’un verre d’eau, ou de jus d’orange selon la saison et l’humeur, et quelques fois si l’humeur est bonne, et la douche bien longue, alors il m’arrive de manger un bout de chocolat, deux carrés pas plus, pas moins. Donc, la durée du déjeuné était souvent bien longue pour moi, et m’importé peu, resté là assis sur une chaise a regardé mon frère manger. Car contrairement à moi, pour lui le petit déjeuné c’étais sacré. Il ne mangeait pas, il dévorait ! Il engloutissait plus de nourriture au petit déjeuné qu’au déjeuné ou au diné. Mon frère est un monstre au petit déjeuné, et vas-y qu’il mange trois croissants, une tablette de chocolat, il boit deux ou trois bols de lait, plus des céréales, il est même allé jusqu'à manger à la fourchette il s’était tartiné une sorte de crème au chocolat sur du pain, il avait mangé la baguette entière… Il me dégoûtait presque, alors souvent je m’amusais à le regarder, il me souriait et continué d’engloutir sans s’arrêter… Voyant mon bol plein il me demandait de me le vidé, et c’est comme ça qu’un jour il m’a prit mon carré de chocolat croyant que je ne le voulais pas alors que c’étais ma seule nourriture. (Conséquence de ce vol, voir : Chapitre antérieur).
Le petit déjeuné finie, nous avions le droit, je dirais même l’obligation de nous habillé. Oda veillait à ce qu’on change tous les jours de vêtement de la tête au pied. Une fois prêt, c’était l’heure d’allait jouer.
Nos amusement étaient diverses et varier, mais même ceux-ci était limité dans le temps, nous sortions tout les jours à 9 heures, et nous devions faire une pose à 10 heures, puis reprendre à 10 heures 20, pour s’arrêtaient à nouveau afin de prendre le déjeuné à midi pille. Une minute de retard, et c’est la punition immédiate.
Un jeu que j’aimais beaucoup était « le tiré de corde », un jeu d’enfant tout simple. Une corde, deux frère, l’un était le « tracteur », l’autre le « seigneur ». Pour résumer ce jeu, le premier devait tracter le second, la corde servant de laisse. Le premier portait sur ces épaules le second, ou alors, il ce mettait à « quatre pattes » et le portait sur son dos, cela dépendait de la volonté du « seigneur ». Là ou le jeu deviens intéressant, et me plaie fortement, c’est la réponse à la question. Comment désigne-t-on le « tracteur », et le « seigneur » ? Toute mon intelligence est là ! L’attribution des rôles était tous simple. On tirait à pille ou face avec une pièce, et quand nous n’avions point de pièce, c’est un « pierre, papier, ciseau » qui nous séparait. Vous me demanderez sûrement ; mais où est la chose intéressant là-dedans ? Et bien c’est simple, je perdais rarement à ce genre de jeu, pourquoi ? Mon frère disait tout le temps « face », et quand on ce départageait avec l’autre méthode mon idiot de frère commençait toujours par « la pierre ». Une fois que j’avais comprit cela, j’avais un moyen de transport gratuit, humain, pas très rapide mais qui me donnait une impression d’importance. Une fois que mon frère était complètement fatigué, au point de ne plus pouvoir me porté, on changeait de personnage, mais généralement je restais dans l’autre rôle pas plus de 30 minutes puisque c’étais l’heure ou du déjeuné ou la pose de 10 heures. Grâce à ce jeu idiot, mon frère ce fit une farouche résistance, qui maintenant lui sert fortement, il me remerciera presque de l’avoir fait souffrir…
Nous avions bien d’autre jeu de plein air, un simple bâton, une pierre ou plusieurs, nous suffisait pour crée, recrée des jeux complètement nouveau, ou déjà vue. Nous modifions les règles selon notre bon vouloir, nous nous amusions sans prétentions. Et s’il nous arrivait de croisé quelques autres enfants entrain de s’amuser, il nous est jamais venu à l’esprit d’en être jaloux, il nous arrivâmes d’inviter d’autre enfant à ce joindre à nous, quand nous croisions leur regard plein d’envie, mais jamais nous n’eûmes besoin d’allais s’amuser avec d’autre, nous étions inséparable, et cette amitié familiale nous rendis très fort. Il arrivait quelques fois que nous étions victime de jalousie, il est vrai, je m’en rappelle, que certains garçons du Clan ne nous portaient pas dans leur cœur, et il y avait de quoi. Nous étions important (membre delà troisième branche du Clan), nous étions considéré comme des génies, nous étions quand même solitaire mais loin d’être insociable, autant de facteur qui fait que nous aillons des ennemies de premier choix. C’est ainsi que des minis-combats s’engageaient entre nous et eux, mon frère et moi face à d’autres enfants du Clan. Mon frère avait deux ans de moins que moi, mais était bien plus fort que je l’étais, surement dû à cet entraînement spécial que je lui fessais faire pendant que l’on jouait. Quand à moi, j’avais et j’ai toujours eu une lucidité au combat très développé, c’est peut être pour cela que je n’avais, et que je n’ai aujourd’hui pas vraiment peur de me battre. J’analyse et résonne avant d’avoir peur, sa ne fait pas de moi un surhomme, mais juste quelqu’un de lucide capable de réfléchir avant d’agir. Pour revenir à nos petites batailles d’enfants, la victoire tournait souvent, nous étions vaincus, comme nous vainquions. Il m’est arrivé bien plus tard de croiser ces jeunes garçons avec qui nous nous battions, et étrangement, aucune rancœur d’un coté comme de l’autre n’étais présente, au contraire, nous étions soudé, car du même Clan, avec un peu du même sang, nous étions finalement camarade et non adversaire…
Les journées suivait alors leur cour, le déjeuné sonnait, nous courrions la plupart du temps pour aller manger, comme j’avais l’habitude de dire ; habitude que j’ai finalement gardé, on ne perd pas les bonnes habitudes. Je criais souvent à mon frère en courant. Vite ! Le crie du ventre n’attend pas ! Et père non plus ! Ce qui fessait souvent rire mon frère, imaginant la tête de notre père si nous étions en retard, ce qui n’arrivait finalement pas souvent. Le déjeuné était un repas comme les autres, nous mangions en famille, mère nous demandais ce que nous avions fait de notre matinée, et nous racontions tout fier nos exploits, nos jeux, et nos bagarres d’enfant. Père ne disait rien de significatif au repas, de toute façon, il était très silencieux de nature…
B) L’après-midi.
Une fois terminée, nous partions tout les deux nous reposés, une sieste bien longue d’environ deux heures, où nous ne dormions jamais le temps imparti, alors nous lisions. J’aime lire, et j’ai transmis à mon frère cette envie, cette soif de connaissance. Quand l’heure fût terminée, c’était le moment d’aller : soie voir père s’il n’était pas au travail, soie d’aller avec mère et les autres enfants qu’elle gardait.
Quand nous allions avec père, il nous racontait son travail, et il nous montrait même des « techniques ». Nous discutions avec lui. J’adorais ces moments, se sentir proche de père, même si avec le temps, j’avais comprit qu’il regardait plus notre évolution qu’autre chose, mais je ne pus m’empêcher de pensé, qu’il fessait cela aussi pour être avec nous…Je l’espère du moins…
Il nous arrivait beaucoup plus souvent d’être avec mère pendant nos après midi. Effectivement, nous étions souvent avec d’autres enfants (Pour plus de détail voir : [Première partie : Chapitre 2 : « Mère …»]). Ce qui était fantastique, c’est que notre mère devenait un vrai professeur, elle nous parlait, écrivait sur un tableau noir, et nous apprenait plein de chose sur les ninjas, sur les métiers diverses de Suna, elle nous apprenait l’histoire du village, du Clan. Elle n’avait vraiment pas de mal a capté notre attention, elle était si belle, que l’on était tous un peu amoureux d’elle, je me refuse de croire et de me comparais a un jeune Œdipe. Quoi qu’il en soie, les garçons était attentif autant que les filles, car les jeunes demoiselles prenait ma mère comme un exemple de réussite, une femme belle, membre d’un Clan renommé avec deux enfants, un mari exemplaire lui aussi, une vrai vie banale mais qui correspond parfaitement a la vie stéréotypé de l’habitant de Suna. Mère, dans son rôle si parfait de professeur, répondait à toutes nos questions, nous, comme les autres enfants écoutent avec la plus grande attention. Nos camardes de classe improvisée étaient tous de bons amis à nous.
Il y avait notre meilleur ami ; avec qui je me retrouverai à l’académie. Il ce nommée Vince, il est aussi grand que moi, cheveux lui aussi brun mais cour et en « pétard », il a des yeux verts. C’étais un Uchiwa aux yeux vert, cela vous parais étrange vu que les Uchiwa son réputé pour leur yeux noir, mais il était issus d’une branche très secondaire, mais peu nous importe, il était un très bon ami, toujours fidèle, il nous suivait souvent, mais ne jouait pas avec nous, ses parents le demandait souvent pour l’aider. Ces parents tenaient un petit commerce de fruit et légumes qui marchaient bien, et il aidait beaucoup sa famille au magasin. Il avait pour but dans la vie, soie de reprendre le commerce de ces parents, soie de devenir marchand ambulant…
Je me souviens aussi d’Ayima, une fille très petite, fragile, très discrète, mais qui était vraiment très intelligente. J’appris bien plus tard qu’elle avait réussi à 4 ans de débloquer son Chakra, ce qui est un vrai exploit, le Clan s’intéressait beaucoup à elle aussi, malgré sa fragilité naturelle. Elle est brune, de très beaux cheveux bruns, elle possédait des yeux noirs comme la majorité des Uchiwa, et fessait partie d’une branche secondaire, la cinquième je crois. Je vous parle d’elle, car elle était souvent à la maison, elle n’aimait pas sa famille qui ne compté que des garçons nés, et formé pour être des ninjas. Elle venait donc à la maison, avec mère pour jouer avec elle, et apprendre la tâches d’une femme, car Ayima avait perdus sa mère quelques années après sa naissance, sa mère succombât a l’accouchement du dernier enfant de la famille. Elle était devenu pour mon frère une sorte de sœur, pour moi, elle s’avéra être quelqu’un de plus important lors de mon adolescence…
Je passe les autres camardes, sans les oublié notamment Timo, qui rêvé de devenir Pirate à l’époque, je pense aussi à Jilus belle et jeune fille qui voulait devenir une infermière dans l’hôpital de Suna, elle avait l’âge de mon frère et d’après mes souvenirs elle ne le laisser pas indifférant. Il y a aussi Masaki, Siyali, Gokusa, autant d’amis avec lesquels nous jouions. En tout nous étions prêt de six ou sept je crois, si ma mémoire me le permet, je reviendrai sur ces camardes, car le destin aura voulus que je les retrouve lors de mon adolescence.
Une fois l’après-midi achevait, le soir débutait, une sorte de retour en arrière s’effectuait, car ce que nous fessions le matin, nous refaisions exactement pareil le soi. Le petit déjeuné passé en premier et devenais le diné, la toilette matinale était toujours au milieu et ne changer pas sauf qu’elle se plaçait alors le soir. Enfin au lieu de nous levait, on ce couchait, toutes ces choses étaient à l’envers, mais similaire, on ce couchait avec si peu d’envie que cela ressemblais à notre réveil…
S’achève alors la plupart de nos journées de cette manière, certaines étaient différentes, mais à quelques détails prêt, toutes les journées de la période de notre enfance ce déroulaient de cette manière… Ma mémoire ne me permet pas de l’affirmer mais j’en suis quand même presque sûr à 100%.
Dernière édition par le Sam 11 Aoû - 1:10, édité 1 fois | |
| | | Uchiha Masashi Membre du conseil
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| Sujet: Mon histoire, ma Fanfic (partie IV) Sam 11 Aoû - 1:08 | |
| Chapitre 4 : « Nous deviendrons ninja, papa ! »
Nous eûmes une autre rencontre avec ce Chakra que nous ne connaissions pas lors de notre enfance. Père nous en avait quelque peu parlé, mais pour des gamins de neuf et sept ans, à cet âge, être dehors à s’amuser était bien plus amusant que dedans à écouter notre père. Ce qui est tout fait normal, rappelez vous que nous sommes de Suna, la ville ou le « soleil ne part pas ». Puisque il pleut sur Suna environ trois ou quatre fois par ans. Mais en ce qui me concerne, cela ne m’a jamais posé de problème de devoir écouter mon père. J’ai un énorme respect envers lui. Je pouvais l’écouter des heures entières, même s’il nous manipulé secrètement. Il était sincère, et nous apprenait derrière ces mots prémâchés, ce qu’est la vie, et ce que nous allions devoir franchir. C’est pour ces raisons que j’aime mon père, et haie mon Clan. Quand j’y repense, mon père a toujours voulus nous tenir loin du Clan. A l’époque nous n’avions pas comprit le discours de notre père, pourtant aujourd’hui, je me souviens de celui-ci, et je comprends alors, maintenant que j’ai mûri, les paroles sages de mon père. Si mon défaut de mémoire ne me rattrape pas, père nous fit un bien beau monologue nous expliquant « la vie des ninjas du Clan » :
« « Ecoutez moi mes fils, je vais vous dire quelque chose d’important. Il y a dans notre Clan une échelle de pouvoir, composée de plusieurs « barreaux », pour être plus précis, chaque personne n’en vaux pas une autre, contrairement à toutes lois de vie en communauté. Nous sommes dans le « troisième barreau » du Clan qui en compte plus de dix, nous sommes alors relativement prêt de la famille principale, ce qui fait que nous aillons une certaine importance. De plus, la branche principale et nous autres, sommes en très bon terme puisque votre cousin en fait partie. Le chef du Clan est très vieux comme vous le savez, il perd donc beaucoup de son pouvoir et de son autorité. Le Clan va mal tourner dès que ce vieil homme décèdera, c’est écrit. Mais il y a une chose que vous devez savoir, le Clan est très puissant, ne désobéissez jamais à la puissance et aux ordres du Clan, car vous vous mettrez en danger, et surtout, vous condamnerez votre famille, de votre mère Tricha à moi en passant par votre grand père, ainsi que vos futurs enfants. Un vrai malheur s’abattra sur notre famille, et on ne peut permettre cela…
Masashi… Kira… Vous savez tous les deux quel est le rôle d’un ninja, je vous l’ai déjà expliqué, mais quoi qu’il en soie, dites vous bien qu’un ninja n’est rien d’autre qu’un chien au service d’une armée. Une arme que l’on doit utiliser. Laissez de coté vos tendances anarchistes si vous désirez devenir ninja, car l’amour propre, la logique absolue, la fierté, l’indépendance, toutes ces choses sont inutiles pour un ninja. Si un jour vous entreprenez le fait de devenir ninja, ce dont le Clan souhaite, n’oubliez jamais mes paroles, car, pour atteindre votre objectif, il faudra vous pliez à des règles, la plupart son illogique, et le bon vouloir n’est rien dans ce monde de corruption. Suna n’est guère mit à l’écart de ce monde… N’oubliez jamais mes fils, devenez fort… Et si vous trouvez des choses anormales dans ce bas monde, et il y en a sachez le, devenez puissant, assez important pour pouvoir faire de ce monde un vrai monde, où l’égalité règne au coté de la liberté… Il va sans dire que vous devrez faire preuve d’un courage immense, accompagné d’une très grande détermination… Si vous choisissez de vous battre pour un quelconque monde meilleur, gardez toujours cette phrase en tête, c’est idéo, faites en sorte d’y croire comme à votre propre existence, défendez là au péril de cette même. Si vous abandonnez, vous tomberez dans l’oublie, vous vous laisserez emporté par la folie, par l’apocalypse, vous deviendrez le Chaos absolus, alors à ce moment là, vous périrez… Mais si vous décidez de tout faire pour y arriver, combattez corps et âme pour votre objectif, et n’oubliez jamais que vous vous battez… » »
Cette phrase m’a marqué au plus profond de mon âme, ces paroles me sont allées droit au cœur, et même à l’époque, j’avais réussie à capter une émotion très grande dans ces paroles. Même si je n’en comprenais pas le moindre mot. Ce que j’en sais, c’est que depuis ce jour, j’ai retenu cette fameuse phrase qui nous dit :
« « Pour un monde pur, et une planète bleu ! » »
Maintenant que le temps à fait de moi un jeune homme de 16 ans, avec une maturité que je jugerai d’adulte, je comprends parfaitement les paroles de mon père, et c’est peut être parce que petit j’avais inconsciemment comprit que les dires de mon père était sincère et très sérieux, que j’ai pu retenir celles-ci et aujourd’hui me souvenir de ces paroles… Ces paroles résonnent en moi depuis que j’ai eu le désir de devenir ninja, depuis que j’ai un objectif, une raison de vivre. A la fin de ce discours, nous sommes mon frère et moi restés très silencieux, jusqu'à ce qu’un petit bruit brisa le long blanc, nous mettant dans une honte incompréhensible, puis la libération arriva, mon père nous autorisa a allé jouer dehors, nous avions alors oublié toute ces paroles, et enfants que nous étions nous avons joués avec nos camardes, inconscient de ce que nous avions entendus. Il a fallut attendre jusqu'à aujourd’hui pour que les paroles de mon père prennent complètement un sens pour moi … Quand était-il pour mon frère ? Je ne le sais…
Après cette pause récréation, il était tôt, nous étions au début de l’après midi, notre père nous demanda de rentré à l’intérieur, il nous expliqua alors pendant plus de deux heures les exploits des ninja de Suna, leur honneur, leur prestige, nous écoutions avec attention, mais le soleil, le beau temps, les oiseaux de Suna, et le crie de nos coussin, de nos oncle et tante que l’on entendais venant de dehors, nous donnaient une envie de courir s’amuser, malgré cela, nous écoutions attentivement. Mon père remarqua rapidement, que notre attention baissait grandement au profit des bruits de l’extérieur. Il décida alors de nous montrer ce qu’il appelait « technique », et qui était pour nous une sorte de tour de magie. Pauvre ignorant que nous étions ... Avant de sortir, notre père nous regarda dans les yeux, un de ces regards qui nous fessait peur, un regard profond qui déshabille l’âme, nous poussant à confession. Aucun de nous ne pouvais dans ces moments là, regarder fixement père, nous en étions incapables. Avions-nous peur ? Non, nous étions juste intimidés par cette présence, cette force mentale tellement imposante. La fierté, la puissance, la solidité de mon père ce ressentait dans ces regards. Puis il s’exclama tranquillement, d’une voix posée :
« « Fils, je vais vous montré la puissance d’un Uchiwa regardait bien. » »
Père nous amena dehors, dans le jardin qui entoure notre maison, il nous avertis, et nous ordonna de nous asseoir sur le rebord de l’escalier à l’abri. Nous le regardions les yeux grands ouverts, je me rappelle avoir chuchoté à mon frère. Regarde ! Père va nous montrer comment qu’il est fort, regarde bien, plus tard, nous aussi nous y arriverons.
Nous étions prêt du petit lac que nous avions, notre jardin était immense, rien que ce jardin représentais environ prêt de deux ou trois rues de Suna, à vrai dire, le Clan représente dans sa superficie totale une vrai ville a lui tout seul, le Clan Uchiwa est « une ville dans la ville ». Ce qui peux vous montré le gigantisme de Suna qui est un village caché immense, dur de caché quelque chose d’aussi immense, le village de Suna n’a que le nom de caché pour être franc. Dans notre rues, car notre famille avait une rue, nous habitons au numéraux « K3r », « K » pour la rue Kuubo (mon père), « 3 » car nous somme la maison numéro 3 (c’est aussi mon chiffre), « r » pour « right » donc coté droit de la rue. A titre d’exemple, mon grand père était au « K2l ». Quand au jardin, c’est : soie « le jardin de la rue », soie « le jardin de la famille » ; car la rue appartient à la famille. Pour être clair ce jardin est un mini-parc, c’est le parc de la rue, donc c’est le jardin de notre famille, comme quoi le découpage du Clan est très strict et on s’emmêle vite. Il nous fallut plusieurs années avant de comprendre ce découpage.
Nous étions donc dans le parc de la famille, père était sur le ponton en face de lui il avait une petit marre ; j’écris petit mais elle est aussi volumineuse que trois arènes de combat de Suna réunies. Père ce mit alors en actions, nos cœurs battaient, nous allions enfin apprendre encore un peu plus sur notre si mystérieux père, sur sa puissance. Il utilisa alors ces mains, pour faire des gestes qui nous étaient totalement inconnu, voir incompréhensible. Puis, ce concentrant une ultime fois, il cracha de sa bouche une énorme boule de feu, des flammes immenses qui éclairaient nos faces de gamin ... Nous étions sans voix ... Admirant avec bonheur, et quelques frayeurs ce fabuleux spectacle qui s’offrait a nous... Les flammes étaient immenses, on ne voyait même plus l’eau de la marre, j’avais peur que tout ce mette à brûler, la bouche entre ouverte, nous regardions encore et encore, fixant notre père, et cette boule de chaleur qui nous fessait avoir chaud, nous transpirons…Mon frère était dans le même état que moi, regardant notre père qui avait une main prêt de sa bouche. Il craché des flammes. Je me rappelle m’être alors mit à pensé quelque chose d’idiot :
*Père serait un dragon !*
Une fois le feu éteint, de la fumée ; j’appris plus tard le nom qui était « vapeur d’eau », s’échappait de la marre, à l’époque je croyais que la marre s’envolé car l’eau avait diminué et il y avait de la fumé translucide. Regarde ! L’eau prend feu ! M’avait crié mon frère. Père repris son souffle, et ce tourna vers nous ... Il s’exclama alors.
« « Un jour, vous aussi vous saurez faire sa… Alors ce jour là, je serais fier de vous mes fils… » »
Nous le regardions, les yeux plein d’espoir, il avait la classe notre père quand même ... On peut dire que c’est depuis ce jour, que nous avions tout les deux réalisés qu’on voulait être des ninjas. Quand notre père eu finit son spectacle, il s’approcha de nous, nous nous levions alors. Il posa ses deux mains sur nos tête, j’eu droit à sa main gauche, mon frère la droite. Sa main était toute chaude, une chaleur corporelle comme celle de mère, une de ces chaleurs que l’on aime, telle la chaleur de notre lit le matin, sa main était rassurante, puissante. Il avait un petit sourire en coin, il nous fixait, puis, il sourit complètement. Nous nous mirent alors à rire, un petit rire suivis d’un très long sourire, nous étions heureux, on ne savait pas vraiment pourquoi, mais j’avais vu mon père sourire, c’étais si rare que je me suis mit à sourire à mon tour, et mon frère nous suivit. Père partit alors, il enleva ces mains de nos tête, nous nous écartâmes machinalement, le laissant passé, lui, nous laissant là. Quand il disparut de nos champs de vision, nos souris étaient tombées depuis longtemps. Je fis alors demi tour, et allant au bout du ponton à quelques centimètres de l’eau, je regardais la marre, accroupis devant celle-ci, serrant les dents… Mon frère ce tourna vers moi, me regardant, il serra les poings, me tandis sa main gauche vers moi, je le regardai faire…
« « « Nous deviendrons comme papa ! » » », Me lança-t-il plein de conviction, j’aurais presque pus voir dans son regard, la flamme de la détermination. Surpris, j’attendis. Je me levis quelques secondes plus tard, et lui répondis avec un regard semblable au sien :
« Oui… Nous aussi… Nous serions capables de faire jaillir les flammes, d’embrasser l’eau, de fendre la roche ! Nous aussi nous deviendrons forts ! Et alors, nous changerons ce monde !! »
Tous les deux : « « « « Nous en fessons ici et maintenant la promesse sur nos vies ! Nous deviendrons ninja ! » » » »
Nous avions terminé notre dialogue avec cette promesse faites à l’unisson, comme toutes les promesses que nous nous étions faites… J’avais à mon tour tendu mon bras, le poing serré, nos deux poings s’entrechoquèrent alors… Un maigre sourire sur nos visages ce lisait.
Ce jour marqua un très grand tournant dans nos vies, nous étions déjà à la base inséparable, depuis ce jour nous ne quittâmes pas d’une semelle, nous ne formions qu’un. Hétérogène à l’extérieur, homogène à l’intérieur, nous avions à partir de ce jour un but dans notre vie, un objectif. Nous savions légèrement ce qui alla nous attendre, père nous avait avertis, mais nous avions décidé de nos vies, c’était « le choix de nos vies »…
Nous rentrâmes alors à la maison, je me rappelle sur le trajet, avoir entre-aperçus une ombre dans un coin, en y repensant aujourd’hui, je suis presque sur que c’étais mon père, je mettrai ma main a coupé qu’il nous avait écouté, et qu’il souriait… Oui, il souriait sûrement…
Notre enfance ce termina ici, nous avions respectivement mon frère et moi sept et neuf ans, nous étions maintenant des adolescents, du moins mentalement, le corps suivra plus tard cette métamorphose. D’après père « un enfant ne devient jeune homme que quand il a comprit pourquoi il vie… » Or, depuis ce jour, nous avons une raison personnelle, mon frère et moi de vivre, un but, un objectif. Nous pouvions, depuis ce jour, répondre à cette question. | |
| | | Jake Hayes Chuunin
Nombre de messages : 117 Age : 34 Date d'inscription : 09/06/2007
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| Sujet: Re: Uchiha Masashi (bonne lecture) Sam 11 Aoû - 3:09 | |
| * se frotte les yeux 1heure pour lire ^^ *
Alors ton histoire est bien je dirait meme plus tres bien néanmois tout les personage inventé sont genin de par ton histoire je laisserai les admin décidé de ton rang ^^
ps: Mon clan donc le clan Hayes est l'égal du clan Uchiwa de Konoha donc la police de Suna c'est mon clan mais si tu veut plus d'information tu peut me MP ou te reporté a mes fiche de personnage du nom de Jake hayes et ishida ametatsu hayes ^^ | |
| | | Hinata Hyuuga Chuunin
Nombre de messages : 80 Age : 39 Date d'inscription : 09/08/2007
| Sujet: Re: Uchiha Masashi (bonne lecture) Sam 11 Aoû - 13:07 | |
| Pour ma part, j'ai pas tout lu, même disons que j'ai rien lu, mais ok, tu dois avoir un excelent niveau rp (je vais pas faire ma chiante) normalement, je n'accepte pas les gens du clan Uchiwa qui sont sencé être mort depuis... enfin voila , mais vu ton niveau (et ton histoire x_X) je pense que c'est bon. Pour ma part... Je pense te mettre soit a Oto (en tans qu'elite ou un truc du genre), soit a Suna (en tans que membre du conseil), maintenant, c'est a toi de voir entre ces deux niveaux ^^ | |
| | | Uchiha Masashi Membre du conseil
Nombre de messages : 27 Date d'inscription : 10/08/2007
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| Sujet: Re: Uchiha Masashi (bonne lecture) Sam 11 Aoû - 14:16 | |
| Je m'excuse, mais je ne savais pas que les Uchiha étaient prohibés, ça n'étaient mis nul part (enfin je crois). Sinon pour le village je pense resté à Suna et devenir Membres du conseil. En ce qui concerne mon niveaux d'RPgiste, je n'en sais rien, c'est la première fois que je fais cela, mais comme j'adore rêver, imaginer, écrire, et décrire je me suis lancé ^^ | |
| | | Hinata Hyuuga Chuunin
Nombre de messages : 80 Age : 39 Date d'inscription : 09/08/2007
| Sujet: Re: Uchiha Masashi (bonne lecture) Sam 11 Aoû - 14:53 | |
| Enfin, pour ma part, cela me semble evident pour les Uchiwa, ils sont sencé être mort, mais certain pouvait être ailleurs ce jour la, enfin, bref, fiche validé | |
| | | Uchiha Masashi Membre du conseil
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| Sujet: Re: Uchiha Masashi (bonne lecture) Sam 11 Aoû - 17:19 | |
| Merci beaucoup et je m'excuse encore pour ma petite déviation ^^, que doi-je faire maintenant en fait ? | |
| | | Iruo Yosumi Deserteurs
Nombre de messages : 78 Date d'inscription : 26/07/2007
Fiche Ninjas Equipement: Grade: Anbu/deserteur
| Sujet: Re: Uchiha Masashi (bonne lecture) Sam 11 Aoû - 17:55 | |
| Ta fiche technique avec toutes tes techniques
Et te trouver un Avatar | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Uchiha Masashi (bonne lecture) | |
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| | | | Uchiha Masashi (bonne lecture) | |
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