Mission rang A

Shûya s'était levé très tôt pour s'entrainer un peu avant sa mission. Ce matin-là, il était de très bonne humeur mais pas assez pour sourir (comme d'habitude d'ailleur). Il astiqua ses katanas et son Epée, les attacha et sortit.
Il faisait encore frais ce matin mais l'atmosphère se réchauffa vite. Les rues étaient désertes et il n'y avait aucun bruit sauf les pas de Shûya. Il s'avança près de la porte et sortit dans le désert.
Au loin, on pouvait voir une tempête de sable qui s'éloignait de Suna.
Il monta saur son faucon et dit :


-"Takagan"

Spoiler:

Shûya vit au loin une espèce de toit et se dit que ce devait être le village où était enfermé ce parchemin. Il ne savait pas ce qu'il contenait mais ne tenait pas à le savoir. Il arrêta sa technique et redescendit de son faucon.
Il partit alors vers le village.


*Je compte y arriver ce soir.*


[HRP : désolé du petit post mais je dois me préparer pour aller en cours]

Shûya continua à avancer dans le désert. Il faisait chaud mais il ne ressentit rien. Il but un peu d'eau et en donna à son faucon. Au loin, on voyait de plus en plus le village. Ce village qui avit volé le parchemin. Soudain, une question vint à l'esprit de Shûya :


*Comment de simples paysans avient pénétrés dans la salle des rouleaux pour en voler au nez et à la barbe de trois Junins surentrainés ?*


Shûya s'approcha des portes du village. il faisait encore jour donc il enleva son armure de combat pour revêtir un vêtement banal pour éviter de se faire repérer durant l'après-midi. Il comptait s'introduire dans la tour pendant la nuit. Il commença à faire semblant de se promener pour chercher les systèmes de défenses et de sécurités externes. Il s'arrêta dans une échoppe de nouilles pour manger un peu puis repartit chercher les moyens d'entrer dans la tour pour éviter de déclencher l'alarme avant de la désactiver. Il repéra des bouches d'aération suffisament large pour un homme en tenue de combat avec ses armes.
Vers 18 heures, un garde, attiré par son manège s'approcha de lui :


-"Eh, vous là, pourquoi faites-vous que tourner autour de la tour ?

-"J'attends ma femme, monsieur, mais elle est en retard."

-"Ah, d'accord, désolé."

*Pfffff, heureusement, j'suis tombé sur le plus bête des gardes. Bon, en tout cas, maintenant, faut que je m'éloigne.*


Puis Shûya s'éloigna de la tour et se posta sur un banc vingt mètres plus loin à l'abri du regard des gardes mais lui pouvait les voir.

La nuit tombait et Shûya enfila son uniforme de combat. Il s'approcha d'une bouche d'aération, la démonta, rentra dedans, remit le couvercle et commença à avancer. Il avait laissé son faucon dehors pour l'avertir. Il décida d'aller d'abord dans la salle de contrôle pour désactiver le système de sécurité qui devait protéger la salle des rouleaux. Il rampa pendant une demi-heure et arriva enfin au dessus des ordinateurs gérant la sécurité. Il n'y avait qu'un seul technicien devant un écran.
Shûya sortit lentement, sauta et atterrit sur le sol avec la souplesse d'un chat. Il s'approcha lentement de l'homme et lui planta un katana dans sa gorge. Il le retira et le remit dans son fourreau. Il mit l'homme de côté et commença à hacker le système de sécurité.
L'écran affichait :





Shûya rentra le mot de passe au hasard : monopole ; qui s'avéra correct.





Il chercha un peu et désactiva le système de sécurité.





Shûya sortit de la salle et parcourut le couloir à tout allure mais guetta le moindre bruit. Il tourna à droite à une intersection et se retrouva face à deux gardes.


-"KAGE BUNSHIN NO JUTSU !"

Spoiler:

Shûya fit huit clones et chacun sortirent un katana avant d'attaquer les deux gardes qui moururent sur le coup. Les clones disparurent et Shûya sentit une douleur intense le brûlait au niveau du ventre. Il retira le kunai et vit avec horreur qu'il y avait du poison au bout de la lame. Le poison était violent mais se répandait lentement. Il n'en avait plus que pour quatre heure. Il absorba un antidote qui devait lui donnait deux heure de plus à vivre.
Il rentra dans la salle, s'approcha du parchemin qui se trouvait au centre de la pièce et, soudain, une alarme stridente retentit et des gardes fondirent sur Shûya tels des aigles fondant sur leur proie.

Shûya avancait dans le désert, ses blessures continuaient à saigner. Le poison continuait à se répandre dans son corps. Ses membres s'engourdissaient mais il avait le parchemin. Il fallait maintenant qu'il revienne au village et remette ce parchemin au Kazekage. En continuant à marcher, Shûya se remémora un épisode de son enfance.

FLASH-BACK

Ce jour-là, Shûya s'entrainait avec ce vieux sage. Il avait alors huit ans.


"-Sensei, pourquoi dites-vous que je dois tout faire pour ne pas mourir en mission ?

"-Car tu es là pour reprendre le flambeau et que, dans quelque années, Taka no Kuni sera menacé et que tu devras le protéger, même contre Suna si il le menace. Car, vois-tu, Taka no Kuni est un très grand pays, plus grand que Kaze no Kuni même, et c'est de là que viennent les faucons des Minomura d'ailleurs.
Enfin bon, tout ça pour dire que Sunagakure serai capable de lancer une offensive contre Taka no Kuni s'il découvrait où ce pays se trouve.

"-Mais, Sensei, comment Suna pourrait le trouver. Je croyai que seul un Minomura pouvait le trouvait.

"-Des fois, si un Minomura donne de son sang à une autre personne, cette personne pourrait enfin le trouver, mais comme elle n'as pas de fauconsde Taka no Kuni, il lui serai impossible d'y rentrer. Et ceux qui sont dons notre pays n'obéissent qu'à leur Minomura respectif. Enfin bon, tu dois vivre.


[/b]


Ces paroles redonnèrent courage à Shûya qui arriva enfin à Suna. Il passa les portes et partit en direction de la Tour du Kazekage




>>Bureau du Kazekage